COMER SOBRE EL CUERPO DESNUDO DE UNA MUJER (JAPONESA)
(De AgoraVox)
Sale uno por el mundo y se entera de cosas como ésta. La Red es madre, madrastra y nodriza. ¿Y qué mala leche que se mama en las pantallas? Pues ahí lo tienen: un "rasgo cultural diferencial" de los japoneses criticado astutamente por los chinos. ¡Que les aproveche!
« Nyotaimori » (女体盛り), littéralement « repas sur le corps d’une femme », est un repas d’origine japonaise servi sur le corps d’une femme nue. Il est généralement composé de sushis et d’algues. Ce type de repas est sur le point d’être interdit en Chine. Est-ce dû aux raisons morales qu’indique que le Beijing Times, ou est-ce à nouveau une polémique sur fond antijaponais ?
Selon China Daily, il a été rapporté dimanche dernier que la Chambre de l’industrie et du commerce de Chine a publié une note stipulant qu’à partir de ce week-end, il serait interdit de servir des repas sur des corps nus. Cela a eu comme conséquence d’interdire notamment les services d’un restaurant du Sud-Ouest de la Chine qui propose du sushi servi sur le corps de femmes nues (ici il s’agit d’étudiantes en université).
Cette déclaration prononcée samedi dernier interdit cette pratique qu’elle qualifie de ’"dégradante pour la personne humaine", selon le Beijing Times. Celui-ci ajoute que « servir de la nourriture sur le corps de femmes nues est une activité commerciale de bas étage », en se fondant sur ladite déclaration.
En avril 2004, les médias chinois avaient signalé que le restaurant Hefeng Village Huaishi Cuisine, à Kunming, capitale de la province du Yunnan, servait des portions de sushi et de la cuisine japonaise sur le dos de deux étudiantes .
Les clients payaient jusqu’à mille yuan (environ 120 $) par personne en réservant jusqu’à trois jours par avance, selon les médias.
3 comentarios
Elias Enoc -
SHALOM
marco antonio -
Albar -
Respecto a este artículo, señalar que no hace falta irse tan lejos, pues me han comentado que esta posibilidad culinaria también existe en Zaragoza, en un restauratne japonés de la Ciudad, pero que en vez de comer sobre el cuerpo de una japonesita u oriental, el "plato" en cuestión es el de una bella señorita de nacionalidad rusa.
¿Estamos ante una alianza ruso-japonesa? ¿Quedaron atrás los conflictos de soberanía que mantenían?